Passer du « comment » ou « pourquoi », le secret d’une entreprise alignée
Quand on crée sa première entreprise, on va rapidement vers le « comment ».
Comment créer ? Comment trouver des clients ? Comment vendre ? Comment gagner plus d’argent ? Comment être plus visible ? … etc
C’est normal, c’est nécessaire, c’est rassurant.
Mais ça ne suffit pas !
Au bout d’un certain temps (totalement variable d’une personne à l’autre), on sent qu’il manque quelque chose.
Qu’il y a autre chose que les réponses à ces « comment ». On ressent quelque chose de l’ordre de la frustration, du manque de plénitude, de plaisir, d’accomplissement.
C’est le moment de s’intéresser au « Pourquoi ».
Quelles sont les motivations profondes qui me donnent envie de continuer cette expérience entrepreneuriale ?
Qu’est-ce que cette liberté tant recherchée et revendiquée peut (enfin) me permettre d’apporter au monde ?
Parce que je suis intimement persuadée que la majorité des entrepreneures ont au fond d’elles un rêve, une envie profonde de contribuer à l’humanité.
Avoir accès à ce « message », cette quête est rarement à l’origine de la création d’entreprise. Mais il devient indispensable pour sa prospérité.
Rechercher sa vérité, sa volonté profonde, son « feu » intérieur devient un besoin quand on a mis en place « tout » ce qu’il fallait, qu’on a intégré les différents mécanismes de l’entrepreneuriat et qu’on est libéré des « comment ».
On peut alors commencer à se poser les questions de notre « pourquoi » qui nous permettrons d’enfin construire l’entreprise de nos rêves et qui nous ressemble.
Combien ont démarré sur une expertise ou une passion et ont changé au bout de quelques années ? C’est normal.
Je vous propose aujourd’hui un accompagnement pour identifier votre grand « pourquoi » puis réutiliser vos acquis du « comment » pour construire votre « vraie » entreprise. Celle qui vous colle à la peau.
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[…] tendance à restreindre ses rêves, avancer d’abord au « comment » avant de penser au « pourquoi », et ce n’est pas ce qui va nous mener à la […]
[…] Sur le projet « ultime », idéal, sans pour l’instant nous préoccuper du « comment ». […]