La maturité entrepreneuriale, un chemin vers la réussite

La maturité entrepreneuriale, un chemin vers la réussite

Atteindre la maturité entrepreneuriale

Lorsque on crée sa solo-entreprise, on le fait souvent à partir d’une expertise ou d’une passion pour laquelle on s’est formé(e).

  • On se dit que tout le monde devrait pouvoir bénéficier de nos produits/services. On n’a pas envie de choisir/sélectionner à qui on va vendre. On ne voit aucune raison de se « priver » de certain(e)s client(e)s.

 

  • Et on construit une offre ou un produit qui englobe TOUT ce que l’on sait et veut transmettre. On a tellement envie de partager nos connaissances, notre passion, nos savoir-faire, notre vision des choses…

 

  • On bénéficie alors de « la chance du débutant» 😉. C’est-à-dire qu’on n’a pas de mal à faire ses premières ventes. A être recommandée par son premier cercle de connaissances. Et on ne met pas forcément en place une vraie stratégie pour conquérir de nouveaux clients.

 

  • On n’a pas forcément d’objectifs financiers, à part reconstituer un salaire « correct » (cette notion étant toute relative). On n’ose pas se fixer un CA ambitieux à atteindre (faut pas exagérer dans ses exigences, on n’est qu’une petite entrepreneure😉). On ne se demande pas « pourquoi » on veut réussir. Ce que cela nous permettra de faire et nous apportera.

 

  • On travaille comme une acharnée, ne comptant ni son temps ni son énergie. C’est normal, quand on aime, on ne compte pas! On travaille tôt le matin et/ou tard le soir, voire le week-end (ben oui, il faut ce qu’il faut 😉).

Et puis vient un jour où on se dit : y a un truc qui cloche.

Tout cet investissement en énergie et en temps ne donne pas les résultats escomptés.

Un moment où on ressent qu’il faut faire quelque chose. Qu’il y a certainement des choses à changer, une autre façon de faire.

On sent bien qu’il y a une histoire de vision d’entreprise, de stratégie, d’organisation, d’outils…etc.

Mais aussi que l’on a atteint ses limites et que seule on ne pourra pas passer au niveau supérieur

 

Vient alors le moment des investissements :

 

  • On choisit un(e) coach pour nous accompagner et soutenir dans la croissance de notre entreprise. Quelqu’un qui est passé par le même chemin que nous et qui saura nous faire ressortir notre identité tout en nous transmettant ses expertises afin de nous aider à poser une stratégie adaptée à notre personnalité et notre vision.

 

  • On s’outille en fonction de sa stratégie (auto-répondeur, plateforme de formation, plateforme de paiement…)

 

  • On constitue une équipe en apprenant à sous-traiter (après avoir identifié et rationalisé ses process de travail 😉)

 

Oui, il faut du temps pour devenir un(e) entrepreneur(e) ! C’est un processus qui demande de commencer, d’essayer, d’apprendre, ajuster et résister. Et qui, pour se développer, nécessite de ne pas rester seul(e) et de mettre de l’argent sur la table.

 

Si vous en êtes là dans votre entreprise, je vous invite à rejoindre mon défi gratuit : « 6 jours pour découvrir son énergie créative et s’engager dans une stratégie de développement ambitieuse ».

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